Rosa de mes nuits d’été. Hommage à Guillaume Apollinaire
Petit conin qu’on délaisse
Ma jolie raccommodeuse dont le cul noir
De tes yeux jaillit même quand tu les voiles
Cette obscure clarté qui tombe les étoiles
Les mots trop tendres que tu dis s’enroulent autor de ma pine
Les anges déchargeaient au sein du crépuscule
La nuit venue dans notre chambre mettait de l’encre sur les murs
Mettait de l’encre entre tes jambes entre tes nichons
Mettait de l’amour dans les lombes
Eroma di Vecchiano - 1980
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